Le Brumascope
Le coeur de la machine : l’écran de fumée, se comporte à l’inverse des écrans auxquels nous sommes accoutumés. Il est volatil, un simple geste et il disparaît. Il est instable, sa densité variant en permanence. L’image qu’il fixe bouge, se floute, s’épaissie ou s’amincie. Il est également en trois dimensions et à celles-ci s’ajoute une quatrième, la texture de la brume qui n’est jamais deux fois la même. Elle donne une peau marbrée aux surfaces de l’image.